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L'opposition politique congolaise avance en ordre dispersée et prépare ainsi activement la victoire électorale de l'actuel président Kabila Kabange Joseph.  Ce Mercredi 24.08.2011 Etienne Tshisekedi vient d'officialiser son coup de théâtre en se faisant élire "candidat commun" et non "Candidat unique "  de l'opposition avec l'appui de quelques partis politiques alimentaires qui n'ont de représentativité que le nombre des membres de leur famille biologique. Après avoir élu Tshikedi comme "candidat commun" aux présidentielles, ce mêmes partis alimentaires  vont courir derrière Kabila Kabange Joseph présenter leur légitimité par le simple fait d'appartenir à la liste des soi-disant partis qui ont fait de Tshisekedi le seul représentant de l'opposition. Il faut aussi ajouter que parmi ces partis alimentaires, certains sont manipulés par le pouvoir en place. L'on se rappèlle encore l'épisode de Tshisekedi...

Après la Grèce, le marché semble focaliser son attention sur l'Italie. Le taux d'intérêt de long-terme pour l'Italie vient de passer la barre de 5,6% (L'Allemagne emprunte à 2,4%) ce qui a poussé le premier Berlusconi de déclarer devant le congrès italien que les fondamentaux de l'économie italienne sont solides. Il est vrai que l'Italie est un pays riche et prospère, mais présente des failles que le marché exploite. Avec un ratio de la dette de l'ordre de 120% de son PIB(Produit Intérieur Brut), une faible perspective de croissance de l'ordre de 1,5%, un chômage qui touche massivement toute  la population active et surtout des jeunes diplômés, une situation politique instable avec la menace qui pèse sur Berlusconi, des mésures d'austérité votés par le parlement mais qui ne vont entrer en vigueur qu'après les élections(Plan d'austerité de 48 milliards d'€ qui va entrer en vigueuer seulement en 2013), une baisse de la productivité de...

La crise de la dette aux USA a quelque chose du "Déja vu" dans l'histoire récente américaine et dans  les rapports de force entre le président de la république des USA et le président républicain de la Chambre. Le rapport de force entre John Boehmer et Obama me rappèlle le même scénario entre Newt Gingrich et Bill Clinton en hiver 1995-1996. A l'époque le speaker Gingrich voulait imposer au président Clinton le vote d'un budget extremement sévère. Aujourd'hui 02. Août. 2011 , avec l'accord sur le rélevement du plafond de la dette américaine, le nouveau speaker John Boehmer vient d'échouer en voulant imposer au président Obama un plan de réduction de la dette américaine extrêmement irréaliste. La seule différence est qu'avec Clinton, il s'agissait de la crise budgétaire, et avec Obama il s'agit de la crise de la dette. Le président Obama a joué la carte d'un modéré face aux républicains ménés par les membres du Tea party...