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Le général Phillipe Mangou, chef d'Etat major de Gbagbo vient de demander l'asile en Afrique du sud. Cela sonne la fin de l'ancien président ivoirien Gbagbo , un homme qui ne voulait pas quitter le pouvoir malgré son échec aux élections il y a quatre mois. L'histoire retiendra de Gbagbo un homme qui a plongé son pays dans le chaos. Aujourd'hui tout le monde se rappèlle de l'ouevre de Felix Houphouet Boigny , le monsieur qui a contruit ce beau pays à l'ouest de l'afrique. Abidjan, c'était le Paris de l'afrique. Incroyable , ce qu'un individu est capable de faire endurer à son pays. Adieu Gbagbo, soit tu finis au tribunal pénal international ou tu prend une balle perdue dans un quartier obscur d'Abidjan comme cela fut le cas du général Robert Guéi... PS: Après le ralliement du chef d'Etat major, l'on attend l'attitude des autres généraux qui protègent Laurent Gbagbo...le président boulanger

(Cliquer deux fois pour agrandir l'image svp.) Von Filme (Cliquer pour voir un petit extrait du film )

Kidi Bebey et Alex Ndiaye nous envoient ces notes: Pour se débarrasser de son dictateur, la première règle est de ne compter que sur soi-même . Surtout, il ne faut pas croire que les Occidentaux voleront à votre secours . Faites d’abord le boulot, c’est alors seulement qu’ils se souviendront de l’universalité des fameux «principes démocratiques». En second lieu, il n’est pas nécessaire d’avoir un homme providentiel , bien souvent il vous décevra et s’accaparera le pouvoir à la première occasion. Lui préférer une révolution sans leader, sans autre visage que celui du peuple. Cela a pour mérite de rallier les militaires et d’attirer la curiosité de l’opinion internationale. Troisième point, il faut savoir choisir soigneusement ses manifestants . Veillez à tenir à l’écart les religieux extrémistes , les politiciens opportunistes, les ralliés de la dernière heure et les anarchistes destructeurs. En revanche, une jeunesse qui ne craint pas les balles et les gaz lacrymogène