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LE MONDE | 30.01.09 | 15h28 • Partagez : GOMA (NORD-KIVU) ENVOYÉ SPÉCIAL C'est une guerre étrange et insaisissable, loin des routes, loin des yeux et où les combattants, pour l'instant, se sont à peu près évités. Mais l'heure de vérité approche. Au Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), l'opération engagée contre les rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), grâce à un retournement d'alliance, aura pour effet de résoudre l'un des plus épineux problèmes de la région, ou d'entraîner une série de catastrophes. A la suite d'un accord surprise négocié entre les hauts responsables des deux pays, le Rwanda avait reçu du Congo l'autorisation d'entrer sur son territoire pour y mener des opérations conjointes contre les FDLR. Depuis le 20 janvier, date de l'entrée des troupes rwandaises, le dispositif s'est mis en place, progressant au sein de la zone du Masisi (nord du Kivu) et ses alen

U.S. Department of State Subject IndexTuesday, January 27, 2009 Daily Press Briefing Robert Wood Acting Spokesman Washington, DC DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO/REGION Reports that Rebel Leader Nkunda Is in Custody in Rwanda / A Welcome Step / Good Sign of Cooperation US Commitment to Peace and Stability in Africa Sylvie. QUESTION: Do you have any reaction to the arrest of the leader of the rebels in the Democratic Republic of Congo? Anything there? MR. WOOD: Yeah. I saw – I’ve seen the reports on it. QUESTION: His arrest? MR. WOOD: I believe he’s in Rwandan custody. QUESTION: Yeah, right. MR. WOOD: And – but we don’t really have the details of it. But you know, his removal is a welcome step on the road to peace. I mean, he has caused nothing but havoc for the people of Congo, and, frankly, for the people of the region. So you know, he’s been causing havoc for far too long. So – and that’s basically my comment on it. QUESTION: How significant do you think the cooperation is between C

Le président ruandais Paul Kagame avait ses habitudes à la maison blanche sous l’administration Bush. Alors que l’ancien président américain recevait les autres présidents africains à la pelle , c’est à dire, à trois , quatre ou six. Paul Kagame avait le privilège d’être recu seul dans le bureau oval de la maison blanche . Après avoir perdu l’appui de Tony Blair, le premier ministre sortant anglais , voilà que Bush fils quitte le pouvoir. Alors sous les consignes de ses conseillers américains du parti républicain,Paul Kagame,le président ruandais, a réagi vite pour se payer une virginité politique devant Barack Obama l'actuel président américain.Son nom était associé directement avec un criminel, il n'en voulait plus. Stratège il a vite compris les enjeux... VOICI LE SCENARIO DE KAGAME A PARTIR DU 20.01.2009 Le président du Ruanda Paul Kagame a ordonné à Bosco Ntaganda , un Tutsi criminel, qui a massacré des milliers des congolais dans l’Ituri et qui s’est solidarisé avec un

Le dollar qui est la monnaie américaine , mais une casse-tête pour le reste du monde s'est apprécié de 0,02 point après l'investiture de Barack Obama, le premier et non le dernier président afro-américan dans l'histoire des USA. Malgré l'annonce d'un programme de relance économique de l'ordre de 825 milliards de dollars dans l'intervalle de deux ans par l'actuel président, le marché fait confiance aux effets positifs des mesures annoncés par Obama. C'est le retour du multiplicateur de Keyness annonciateur d'une croissance de la production dans un , deux ou trois ans. Le marché du travail qui annonce au moins 7,3% de taux de chômage espère une relance des offres d'emplois, grâce à la politique des grands travaux annoncé par Obama. Les autres économies du monde croient à la croissance de la productivité de l'économie américaine,c'est ainsi que les chinois vont continuer d'acheter les bons de trésor américain et financer le déficit

Plus de 60 entreprises chinoises ont quitté la région du Katanga pour s'installer momentanement dans la Zambie voisine. La baisse des cours du cobalt et du cuivre en est la raison. Ces entrepreneus chinois qui sont vénus en RDC dans le cadre des 5 chantiers du président Joseph Kabila Kabange ont oublié un élément important qu'un investisseur doit évaluer avant de prendre la décision d'investir. C'est l'évaluation du rendement de l'investissement et du risque exprimé en terme d'écart-type. Les temps sont déjà dur pour la pauvre population congolaise. Avec la crise mondiale et la baisse des cours des matières premières,les temps seront pire. En disant cela , je suis modeste. Guy Kapayo Germany